| 2 résultats trouvés pour fuck | | Auteur | Message |
|---|
 Sujet: maybe you're mine | Silal Hunter
Réponses: 5
Vues: 211
| Rechercher dans: gestion perso.  Sujet: maybe you're mine Mar 25 Juin - 11:45 | silal hunterfeat Jaron Baker naissance on t'a choisi en tant que poisson. le signe aquatique s'enflamme en une nuit orageuse. tu te retiens de tes émois à peine sortie du trou, lubie significative d'une naissance véritable. la vie t'accueillait dans ses tranchées mouillées d'une saison mal débutée, dans une clinique presque délabrée, à peine éclairée d'une lumière ôcre par des lampes LED la plupart défaillantes, dans le plus au fond de [l'Irlande sauvage], là où les cris et les pleurs systématiques ne s'entendraient pas dans un rayon très restreint. tes [vingt-sept balais] se rangeaient dans le placard globalement cassé à force d'y fourrer tes joints allumées. tu empilais tes pétards braisés à la vitesse de tes rencontres amoureuses, rêve idyllique de te retenir.
origines, nationalités un dialecte partiellement norvégien sur le bout intérieur mélangé avec du flamant nordique et un patois imaginaire inventé par ton père l'alcoolique sur la partie rugeuse supérieure de ta langue. tu balbuties des mots que seul toi ne comprend. moitié irlandais, moitié inventé, ton langage reste presque inconnu par les stupidités autre que ta mère devenue irlandaise par la terre riche et innocente. pas moyen de compter sur un père refoulé globalement absent. tu héritais des droits du citoyen privilégié ou emprisonné d'un homme entièrement [irlandais].à croire qu'on t'y avais forcé. retourner dans cette ville dont tu n'avais oublié que les déchets et les ordures qui te parlaient à chaques coins de rues était un projet légitime et de contre foi ou contre toi.
statut, orientation tu n'aimais pas rentrer dans des catégories. tu ne mélanges pas les escargots et les limaces. tu te démarques des autres pour pouvoir mieux observer. vaut mieux se sacrifier pour savourer un rêve nostalique, qui s'était effacé et évaporé lorsque tu n'étais pas toi. tu rêves de ce goût de fraise sur tes lèvres, de ses mèches blondes et soyeuse au crépuscule, à cette étreinte resserrée contre toi dans ce lit, à ces courbes tracées au compas au plus proche de toi, à ces formes que tu révisais à chaque soirée, ton [hétérosexualité] n'était pas caché. tu te révelais comme timide pour t'ouvrir plus facilement. les voix rauques et suaves te surprenaient tout autant, toi aussi tu trouvais ça incroyable. tu frissonnais par des caresses venant d'ailleurs, de genres et d'odeurs inconnues. ta [bisexualité se camouflait au plus profond de toi, dans tes abysses sentimentales et meurtières. là où personne n'avait pu trouvé le graal que tu avais enfoui.
situation financière [€]€€, tu te débrouilles seul. auto-didacte, solitaire, t'as mère ne se fait aucuns soucis sur tes maux et tes douleurs. une bourse familiale qui frôle les 10 livres pour pouvoir te satisfaire et changer la vision de ce monde écoeurant que tu peines à regarder avec un filtre frôlant le rose bonbon. tu te joues des tours en achetant des paquets de cigarettes au lieu de pouvoir te nourrir sainement. tu profites de tes bénéfices pour te soulager dans un antidote dont tu ne connais les preuves irréfutables et les effets nefastes. tu enchaînes les petits boulots de babysitter jusqu'à jardinier pour aligner les cents cuivrés sur ta table cassé avec trois pieds dans une pièce à vivre de 10 mètres carrés.
occupation ton humeur assez enigmatique et fébrile te rend presque instable. tu pars d'un cas innovateur et fermé à un homme ouvert à tout. tu postules en tant que [serveur au tea time room] pour pouvoir changer ta vision obscure du monde qui se présente à toi. tu adoptes un dos droit et une bouille souriante et chaleureuse. tu gardes cependant un ton suave voire froid face à l'adversité inconnu que l'on t'avait caché. tu t'éclates pleinement en faisant des rencontres qui te socialisent de plus en plus vers un homme ordinaire.
situation familiale ton 20 mères carrés mal répartis sur trois autres pièces venait à faire de toi une personne en difficulté. tu galérais à rassembler des personnes ta piaule qu'on penserait délabré par ton absence récurente. tu varies de maison en fonction des soirées qui animent tes nuits sans fins. tu te retrouves dans les lits des autres, avec des odeurs inconnus si cela n'aurait pas été le rêve des autres. tu vis donc seul chez toi, dans ta piaule vide mais avec de nombreuses personnes dont tu ne connais le patronyme ou même le pseudonyme. il est connu de s'inventer des surnoms pour ne pas se faire attraper par la police. entre canapé et armoire, on ne savait pas comment t'appeler. mais c'est pseudos te laisser toi, et toi [seul]
à daigh island depuis les coins de rues, les feus de carrefours, les flacs d'eau, les merdes de chiens, les petits rebords qui te cassent le pied, tu connais chaque petit morceau de l'île. ici depuis ton plus jeune âge, tu voyais dans la vie que cette île froide et innocente de ton regard inerte. tu pensais découvrir des choses dans ta vie mais tu restais accrocher à une île qui t'avait fait avaler des kilomètres de goudron. tu peinais à garder le bon côté de cette destination avant de changer, avant de faire ton blew up. cette île restait tout de même ta maison: [depuis ta naissance jusqu'à ta mort]. pas comme ton père, ton île a su t'accompagner partout et te soutenir les pieds légers sur terre.
rêveur - taciturne - difficilement attaché - ouvert - extravagant - impulsif - arrogant - spontané - fier - tactile - curieux - maladroit - impatient - secret - fêtard - manique - sarcastique - bruyant - émotif - et that's it apo/victoria
vingt-trois
île de la Réunion
le grand bazzart
inventé à fond 01. on te sert facilement à boire, tu ne refuses que quelque fois. face à la tentation, tu cèdes. tu t'y mets jusqu'à n'en plus finir. mais tu restes toi-même. ton esprit ne bougera pas. tu gardes le contrôle de toi. que les autres le veuillent ou non, tu resteras toi même tel est ta philosophie de vie. 02. les cigarettes sont pour toi un moyen de te libérer, par la fumée répugnante du goudron qui se fend dans l'air. tu t'envoles comme des particules dans l'air, te laissant emporter par ce qui ne te retiens plus. tu te laisses guider dans le but de mieux te retrouver. 03. les filles et toi ça ne fait pas une formule mathématique. ta mâchoire carré fait de toi une cible de fléchette assez facilement. tu attires les filles comme les chats dans ta planque délabrée. tu finis chez elle comme tout les soirs. tu n'as jamais réussi à atteindre le tendre coeur obscure d'une d'elle. tu te tattes juste à celles inférieures. 04. tu t'assumes complétement. en essayant quand même de flouter tes défauts lorsqu'il le faut. tu restes quand même polis entre deux phases de ton conscient, tu restes humain malgré les paradoxes internes qui te coupent les viscères. tu auras beau avoir un passé presque dégueulasse, tu as appris à jouer dessus pour te libérer. que ta mère t'ait abandonné, tu en fais une force.05. l'absence de ton père t'a fait perdre confiance aux hommes qui t'entourent. ton regard méfiant s'adresse droit dans les yeux noirs de ton patron. tu vois dans les pupilles obscures l'ombre de ton père, une saloperie que tu voudras jamais revoir. tu as presque peur des hommes comme tu as peur de ton père. 06. l'île sur laquelle tu poses les pieds ta rendu faire de ce que tu as. malgré ton petit studio, tu connais maintenant les valeurs essentielles prônées par cette île qui t'a éduqué. tu sais maintenant avoir de la gratitude ce qui te fait de toi un fou de la société. 07. la vie t'a toujours semblé dure ou dégueulasse. des abandons, des pertes, tu as connu les mauvaises facettes de l'existance humaine. tu gardes quand même cette lueur écarlate en toi qui te fait devenir ce que tu as toujours voulu être. tu as maintenant la puissance de pouvoir accomplir ce que tu veux. tu as surpassé ton passé pour te rendre plus fort. 08. ta destinée a toujours été un taboo pour toi. entre des amourettes de lycée et des plans d'un soir, tu n'as jamais connu ce palpitement dans le ventre. tu enchaînes les baisers langoureux, les slow de bal et les différents lits, mais tu n'as jamais connu le vrai amour. 09. tu n'as pas peur de mourrir. tu es devenu froid, aussi froid que plus rien ne t'importe voire te préoccupe. tu restes roide face à l'adversité comme si cela ne te touchait pas. tu parais inhumain face aux autres mais tu restes toi-même. c'est cela que l'on t'a repété dans ton enfance, reste toi-même. 10. tu restes quand même fragilisé par ton passé mais en apprends avec aisance pour te durcifier. tu continues à avoir des points faibles mais tu restes fort. tu continues à savourer la vie comme elle se présente, que tu l'ai souhaité ou non. les rps en cours :
www prénom nom
www prénom nom
les rps terminés :
www prénom nom
www prénom nom
(f ou m) titre du lien recherché
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
(f ou m) titre du lien recherché
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
| | Sujet: just hate your happiness | Silal Hunter
Réponses: 9
Vues: 313
| Rechercher dans: présentations. Sujet: just hate your happiness Lun 24 Juin - 21:32 | silal hunterfeat Jaron Baker naissance on t'a choisi en tant que poisson. le signe aquatique s'enflamme en une nuit orageuse. tu te retiens de tes émois à peine sortie du trou, lubie significative d'une naissance véritable. la vie t'accueillait dans ses tranchées mouillées d'une saison mal débutée, dans une clinique presque délabrée, à peine éclairée d'une lumière ôcre par des lampes LED la plupart défaillantes, dans le plus au fond de [l'Irlande sauvage], là où les cris et les pleurs systématiques ne s'entendraient pas dans un rayon très restreint. tes [vingt-sept balais] se rangeaient dans le placard globalement cassé à force d'y fourrer tes joints allumées. tu empilais tes pétards braisés à la vitesse de tes rencontres amoureuses, rêve idyllique de te retenir.
origines, nationalités un dialecte partiellement norvégien sur le bout intérieur mélangé avec du flamant nordique et un patois imaginaire inventé par ton père l'alcoolique sur la partie rugeuse supérieure de ta langue. tu balbuties des mots que seul toi ne comprend. moitié irlandais, moitié inventé, ton langage reste presque inconnu par les stupidités autre que ta mère devenue irlandaise par la terre riche et innocente. pas moyen de compter sur un père refoulé globalement absent. tu héritais des droits du citoyen privilégié ou emprisonné d'un homme entièrement [irlandais].à croire qu'on t'y avais forcé. retourner dans cette ville dont tu n'avais oublié que les déchets et les ordures qui te parlaient à chaques coins de rues était un projet légitime et de contre foi ou contre toi.
statut, orientation tu n'aimais pas rentrer dans des catégories. tu ne mélanges pas les escargots et les limaces. tu te démarques des autres pour pouvoir mieux observer. vaut mieux se sacrifier pour savourer un rêve nostalique, qui s'était effacé et évaporé lorsque tu n'étais pas toi. tu rêves de ce goût de fraise sur tes lèvres, de ses mèches blondes et soyeuse au crépuscule, à cette étreinte resserrée contre toi dans ce lit, à ces courbes tracées au compas au plus proche de toi, à ces formes que tu révisais à chaque soirée, ton [hétérosexualité] n'était pas caché. tu te révelais comme timide pour t'ouvrir plus facilement. les voix rauques et suaves te surprenaient tout autant, toi aussi tu trouvais ça incroyable. tu frissonnais par des caresses venant d'ailleurs, de genres et d'odeurs inconnues. ta [bisexualité se camouflait au plus profond de toi, dans tes abysses sentimentales et meurtières. là où personne n'avait pu trouvé le graal que tu avais enfoui.
situation financière [€]€€, tu te débrouilles seul. auto-didacte, solitaire, t'as mère ne se fait aucuns soucis sur tes maux et tes douleurs. une bourse familiale qui frôle les 10 livres pour pouvoir te satisfaire et changer la vision de ce monde écoeurant que tu peines à regarder avec un filtre frôlant le rose bonbon. tu te joues des tours en achetant des paquets de cigarettes au lieu de pouvoir te nourrir sainement. tu profites de tes bénéfices pour te soulager dans un antidote dont tu ne connais les preuves irréfutables et les effets nefastes. tu enchaînes les petits boulots de babysitter jusqu'à jardinier pour aligner les cents cuivrés sur ta table cassé avec trois pieds dans une pièce à vivre de 10 mètres carrés.
occupation ton humeur assez enigmatique et fébrile te rend presque instable. tu pars d'un cas innovateur et fermé à un homme ouvert à tout. tu postules en tant que [serveur au tea time room] pour pouvoir changer ta vision obscure du monde qui se présente à toi. tu adoptes un dos droit et une bouille souriante et chaleureuse. tu gardes cependant un ton suave voire froid face à l'adversité inconnu que l'on t'avait caché. tu t'éclates pleinement en faisant des rencontres qui te socialisent de plus en plus vers un homme ordinaire.
situation familiale ton 20 mères carrés mal répartis sur trois autres pièces venait à faire de toi une personne en difficulté. tu galérais à rassembler des personnes ta piaule qu'on penserait délabré par ton absence récurente. tu varies de maison en fonction des soirées qui animent tes nuits sans fins. tu te retrouves dans les lits des autres, avec des odeurs inconnus si cela n'aurait pas été le rêve des autres. tu vis donc seul chez toi, dans ta piaule vide mais avec de nombreuses personnes dont tu ne connais le patronyme ou même le pseudonyme. il est connu de s'inventer des surnoms pour ne pas se faire attraper par la police. entre canapé et armoire, on ne savait pas comment t'appeler. mais c'est pseudos te laisser toi, et toi [seul]
à daigh island depuis les coins de rues, les feus de carrefours, les flacs d'eau, les merdes de chiens, les petits rebords qui te cassent le pied, tu connais chaque petit morceau de l'île. ici depuis ton plus jeune âge, tu voyais dans la vie que cette île froide et innocente de ton regard inerte. tu pensais découvrir des choses dans ta vie mais tu restais accrocher à une île qui t'avait fait avaler des kilomètres de goudron. tu peinais à garder le bon côté de cette destination avant de changer, avant de faire ton blew up. cette île restait tout de même ta maison: [depuis ta naissance jusqu'à ta mort]. pas comme ton père, ton île a su t'accompagner partout et te soutenir les pieds légers sur terre.
rêveur - taciturne - difficilement attaché - ouvert - extravagant - impulsif - arrogant - spontané - fier - tactile - curieux - maladroit - impatient - secret - fêtard - manique - sarcastique - bruyant - émotif - et that's it apo/victoria
vingt-trois
île de la Réunion
le grand bazzart
inventé à fond 01. on te sert facilement à boire, tu ne refuses que quelque fois. face à la tentation, tu cèdes. tu t'y mets jusqu'à n'en plus finir. mais tu restes toi-même. ton esprit ne bougera pas. tu gardes le contrôle de toi. que les autres le veuillent ou non, tu resteras toi même tel est ta philosophie de vie. 02. les cigarettes sont pour toi un moyen de te libérer, par la fumée répugnante du goudron qui se fend dans l'air. tu t'envoles comme des particules dans l'air, te laissant emporter par ce qui ne te retiens plus. tu te laisses guider dans le but de mieux te retrouver. 03. les filles et toi ça ne fait pas une formule mathématique. ta mâchoire carré fait de toi une cible de fléchette assez facilement. tu attires les filles comme les chats dans ta planque délabrée. tu finis chez elle comme tout les soirs. tu n'as jamais réussi à atteindre le tendre coeur obscure d'une d'elle. tu te tattes juste à celles inférieures. 04. tu t'assumes complétement. en essayant quand même de flouter tes défauts lorsqu'il le faut. tu restes quand même polis entre deux phases de ton conscient, tu restes humain malgré les paradoxes internes qui te coupent les viscères. tu auras beau avoir un passé presque dégueulasse, tu as appris à jouer dessus pour te libérer. que ta mère t'ait abandonné, tu en fais une force.05. l'absence de ton père t'a fait perdre confiance aux hommes qui t'entourent. ton regard méfiant s'adresse droit dans les yeux noirs de ton patron. tu vois dans les pupilles obscures l'ombre de ton père, une saloperie que tu voudras jamais revoir. tu as presque peur des hommes comme tu as peur de ton père. 06. l'île sur laquelle tu poses les pieds ta rendu faire de ce que tu as. malgré ton petit studio, tu connais maintenant les valeurs essentielles prônées par cette île qui t'a éduqué. tu sais maintenant avoir de la gratitude ce qui te fait de toi un fou de la société. 07. la vie t'a toujours semblé dure ou dégueulasse. des abandons, des pertes, tu as connu les mauvaises facettes de l'existance humaine. tu gardes quand même cette lueur écarlate en toi qui te fait devenir ce que tu as toujours voulu être. tu as maintenant la puissance de pouvoir accomplir ce que tu veux. tu as surpassé ton passé pour te rendre plus fort. 08. ta destinée a toujours été un taboo pour toi. entre des amourettes de lycée et des plans d'un soir, tu n'as jamais connu ce palpitement dans le ventre. tu enchaînes les baisers langoureux, les slow de bal et les différents lits, mais tu n'as jamais connu le vrai amour. 09. tu n'as pas peur de mourrir. tu es devenu froid, aussi froid que plus rien ne t'importe voire te préoccupe. tu restes roide face à l'adversité comme si cela ne te touchait pas. tu parais inhumain face aux autres mais tu restes toi-même. c'est cela que l'on t'a repété dans ton enfance, reste toi-même. 10. tu restes quand même fragilisé par ton passé mais en apprends avec aisance pour te durcifier. tu continues à avoir des points faibles mais tu restes fort. tu continues à savourer la vie comme elle se présente, que tu l'ai souhaité ou non. | | |
| |
