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Marie-Lou Quenn
It was just a goodbye
Marie-Lou Quenn
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avatar : Holliday Grainger - ice and fire.
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âge : elle a 36 ans. toutes ses années ont forgé le caractère de Marie-Lou
statut civil : célibataire, elle cherche l’ancien homme de sa vie, père de sa fille. elle ne souhaite pas d’attache à qui que ce soit
occupation : anciennement avocate elle a quitté son boulot pour rejoindre l’ile et pourquoi pas y faire une nouvelle carrière
rang personnalisé :
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She'll make you curse, but she a blessing.
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résumé du personnage
Marie-Lou est une jeune avocate, fraichement revenue à Daigh island, pour retrouver son histoire, son ancien petit ami et sa fille qu'elle n'a jamais vu.

nb de mots : petits RP, 200 mots à 500 mots
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(#) Lun 27 Mai - 11:02

when we see each other

cela faisait à peu près 30 ans que tu n'avais pas posé le pied sur le sol irlandais. ce bout de terre, perdu en mer, que peu de personne connait. cette île t'avais vu dès ton premier jour. parce que l'irlande, c'est une histoire de famille, tes gênes sont ceux d'irlandais ayant vécu à Daigh depuis la nuit des temps. pourtant, ce matin, quand tu as posé le pied sur le quai, tu avais des nausées. était-ce le voyage en ferry ou alors le stress de ta venue sur l'île, peut être les deux, mais tu les sentais ces montées, ces vertiges, ils étaient bien présents. ta vision se brouilla un moment, tu as saisi la rambarde du quai pour retrouver ton équilibre alors que ton sac t'attirait de l'autre côté. tu ne pouvais pas rester dans cet état désagréable, avant toute chose, tu devais faire passer ces nausées. alors, avant même d'aller poser ta valise, tu décides d'aller à la pharmacie de la ville.
tu ne reconnais rien, ou du moins tu reconnais quelques détails mais rien de très probant. ça te perturbe, ça te ... même si tu n'y avait passé que 3 ans, étant petite fille, tu aurais pensé reconnaitre certains éléments, mais non. tu marche dans la rue, trainant ta petite valise derrière toi, les yeux zigzagant entre les bâtisses sans y trouver de réconfort. en cet fin de mois de mai, le vent maritime te donne des frissons. cet air iodé te rentre dans les narines et semble doucement calmé tes maux. tes talons claques sur le bitume, pour entrer dans la pharmacie du centre ville. cette petite terre n'est pas si grande, un taxi n'avait pas été nécessaire, tu n'étais qu'à quelques pas de ta destination.
quand tu rentres, ton regard va sur les visages déjà présents dans la boutique. des vieilles dames, un monsieur, une jeune femme. aucun n'est celui que tu cherche, celui que tu connais si bien, que tu as aimé contempler pendant des heures quand vous étiez encore à Paris. ton souffle se calme, ton coeur s'apaise, tu es stressée, même si ce temps, tu l'avais grandement réfléchi avant de venir. mais le face à face tu le redoutes un peu. qu'est-ce qui va se dire, qu'est-ce qui va se passer ? mais ce n'est pas le moment, il n'est pas là, ce temps viendra, elle en est certaine mais à l'heure actuelle, ce qu'elle recherche ce sont des petites pilules qui feront passer sa nausées.
rapidement, ton tour arrive, alors tu avances vers le comptoir avec ta valise bleu foncée. le visage de la pharmacienne te sourit, elle ne semble pas te connaître. en même temps, qui te reconnaitrait, après tant d'année. "bonjour, madame, auriez vous quelque chose pour arrêter les nausées. je débarque du ferry et je crois que le mal de mer s'est emparée de moi. ". on t'acquiesce et elle disparait derrière les étagères complètes de boîtes.




@Arthur Shaughnessy Marie&Arthur - when we see each other 2679744725
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(#) Sam 1 Juin - 21:08

when we see each other

Elle n'avait pas arrêté de vomir toute la nuit. Eve avait certainement mangé un truc avarié parce que tu avais passé toute ta nuit à ses cotés, aussi bien dans son lit à lui caresser le bras sous ses frissons puis à lui tenir la tête lorsqu'elle vomissait dans le seau laissé au pie de son lit. T'avais essuyé la morve qui coulait de son nez lorsqu'elle s'excusait de son état. Tu étais resté silencieux, rongé par la peur qui ne lui arrive quelque chose plus grave. Pour rejoindre les urgences il fallait quitter l'île et la nuit cela semblait impossible. Mais voir ta fille ainsi t'avait donné envie de vomir à toi aussi. Ta prunelle souffrait, mais tu ne pouvais rien faire hormis attendre les premières lumières du soleil pour filer à la pharmacie. Elle venait à peine de se rendormir quand tu regardais l'heure pour filer voir la pharmacienne. Il n'y avait évidemment qu'une seule pharmacie sur l'île et elle était à l'autre bout de ton domicile alors tu rappelais rapidement à ta plus jeune sœur qu'elle devait surveiller Eve, elle te criait dessus en t'expliquant qu'elle était tout de même assez mature pour savoir qu'elle ne devait pas laisser Eve seule, mais pour éviter sa colère, t'avais déjà pris la fuite.

Tu accélérais le pas histoire de revenir rapidement. Le visage pâle de ta fille hantait tes esprits parce qu'elle était si rarement malade que les fois où tu l'avais vu ainsi ce comptait sur les doigts de la main. Tu voulais à tout prix qu'elle aille mieux et vite, alors tu te prenais pas le temps d'admirer les beaux paysages, tu tentais pas de saluer ceux qui passait près de toi, tu fonçais vers ton objectif, tu continuais droit devant comme t'avait toujours fait.

Parfois, dans ce genre de situation, tu te demandais ce qu'aurait fait Marie. Elle aurait sûrement eu des réflexes beaucoup plus maternels, elle aurait trouvé les mots justes pour rassurer Eve, elle l'aurait protégé, sûrement d'une manière bien différente de la tienne. Mais toi tu faisais comme tu pouvais, et tu considérais que c'était pas si mal que ça au final.

La sonnerie annonçant ton arrivé venait de retentir dans la petite boutique. Tu expliquais rapidement les symptômes de ta fille, la pharmacienne s'éloignait déjà vers l'arrière boutique. Tu continuais à ruminer jusqu'à ce qu'elle t'apporte ce dont tu avais besoin et que tu puisses filer. Tête baissée, sans regarder à coté de toi, sans chercher à savoir qui pouvait se trouver ici. Dans ta tête il n'y avait qu'Eve, ton tout, ton être. Et quand tu t'apprêtais à claquer la porte de la pharmacie, c'est sa voix qui te fit te stopper net.

Tu savais pertinemment que ce n'était pas sa voix à elle, à ta fille. Non au contraire tu connaissais trop celle que tu entendais ici pour confondre les deux. Mais penser à ta fille et entendre la voix de sa mère te brisait encore plus. C'était comme un lointain souvenir, un passé qui te giflait tout en se moquant de toi. Certainement ce qu'on pouvait appeler « un coup du destin ». Mais toi tu n'en voulais pas. Tu voulais que ton destin reste bien tracé et ne rencontre plus jamais celui de Marie.

Tu sortis précipitamment, incapable de savoir quoi faire. Prendre la fuite tant que tu avais le temps, te dépêcher de rentrer mais quoique tu fasses, elle te verrait à un moment donné, tu savais par l'expérience qu'on arrivait pas ici sans une idée précise en tête et qu'on en repartait immédiatement. Voir jamais. Tu laissais un long soupir t'échapper, te collant contre le mur pour qu'il puisse te supporter. Pas le choix apparemment, tu n'avais plus qu'à attendre, attendre et l'affronter.

Ce qui te parut des heures n'étaient au final que des secondes, peut-être des minutes mais elle finie par sortir de la pharmacie. Elle ne s'attendait sûrement pas à te trouver là, enfin elle devait bien se douter que tu n'étais pas loin, l'île, tu lui en avais parler pendant vos années passées, elle connaissait ta vie, tes habitudes, tout. Tout et puis, plus rien.« Je n'en reviens pas que tu es le culot d'être venu ici. » Tu pouvais plus retenir tes mots, t'avait de la colère à la voir ici, mais t'étais surtout empli de tristesse. Dix ans. Dix ans et elle n'avait pas changé.



Marie-Lou Quenn
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Marie-Lou est une jeune avocate, fraichement revenue à Daigh island, pour retrouver son histoire, son ancien petit ami et sa fille qu'elle n'a jamais vu.

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(#) Jeu 6 Juin - 19:30

when we see each other

tu te souviens, ce matin, très tôt, trop tôt, à l'embarcation. l'odeur des algues qui grimpaient sur le ponton avaient déjà contribuées à tes nausées. mais ce n'étaient pas elles qui te donnaient les hauts le coeurs. non, tu pensais plutôt à ce stress qui te bouffait depuis le jour où tu avais décidé de partir les retrouver. pourquoi cette folle idée, toi qui avais décidé de les abandonner. tu es comme ça, tu te décides sur des coups de tête, tu es changeante, comme le temps, le temps d'irlande qui peut apporter une pluie inondant les rivières puis une quelques minutes, un soleil qui nous pousse à retirer nos vêtements superflus. tu es comme ça. alors oui, tu les avais laissé, derrière toi, tu ne voulais plus en entendre parler et il y a quelque mois, tu avais eu l'idée de les rejoindre ici, sur l'île.
tu en voyais souvent des mamans, ces femmes si élégantes avec leur enfant, recevant un amour inconditionnel. c'était peut-être ça que tu cherchais, son amour, ses yeux qui te regarderaient dans lesquels tu verrais une adoration. Eve, celle dont tu avais choisi le prénom avec Arthur, tu l'avais laissée, tu avais à peine croisé ses yeux clairs le jour où tu as fuis. tu n'avais même pas voulu la prendre contre ton corps quand tu l'as mise au monde. tu ne voulais pas t'accrocher, tu ne voulais pas mettre en péril ton plan. alors même si tu l'avais croisée dans les rues de Paris, tu ne sais même pas si tu aurais pu la reconnaitre. tu l'as imaginée, tu l'as dessinée de nombreuses fois dans tes songes, elle était si jolie. on t'avais mis dans une case, une femme sans coeur qui avait laissé son enfant, sa chaire de sa chaire seule, mais au fond, dans ton coeur fragile, elle y était gravée à jamais. l'instinct maternel tu avais essayé de l'essuyer mais la nature est si bien faite, ces années n'avaient pas réussie à te la faire oublier.
alors, tu étais arrivée ici à Daigh island, après tant d'année, plein d'espoir dans le coeur mais aussi du stress à foison. après tout, tu ne savais pas du tout comment ils allaient réagir. alors oui, tu avais le prétexte aussi d'aller te recueillir sur la tombe de tes parents, retrouver y retrouver une partie de ta famille ici. mais tu le savais, ô non ce n'était pas ça qui t'avait ramenée ici, c'était bien eux, elle, lui.
tu avais tourné ta tête, en entendant une voix grave, une voix qui t'avait marqué à jamais, que tu avais entendu dans tellement de situation, qu'il n'y avait pas de doute, c'était lui. figée, tes yeux clairs étaient fixés sur lui. tu ne pouvais plus bouger, ta bouche se sécha. ca y est, tu étais au moment que tu avais tant redouté. mais oui, tu n'avais pas prévu qu'il allait venir aussi rapidement, tu venais à peine d'arriver sur l'île. d'accord, tu savais que la ville était petite et que tu allais un jour ou l'autre tomber sur lui, sur eux. mais dès les premières minutes, ça n'avait pas été dans tes plans. alors tu te retrouvais face à lui, tu ne savais pas du tout comment réagir, quoi faire, quoi dire. la pharmacienne te tendait une boîte que tu ignorais totalement, tu étais obnubilée par cette grande silhouette.
Arthur, cet homme, ce charme, cet amour que tu avais porté pour lui. tu avais une confiance aveugle en lui, il était celui qui te comprenait, celui qui t'épaulait dans tous les moments de doute qui te parcouraient. ses yeux sombres t'avaient à nouveau capturée.
Quand il passa la porte de la pharmacie, tu es revenue à toi, la boite de médicament sous ton nez, tendu par la pharmacienne qui commençait à s'impatienter. quelques secondes passèrent sans que tu ne réagisses puis, tu as décidé de sortir, sans les cachets, juste avec une idée en tête, le retrouver, le rattraper. tu espérais qu'il ne soit pas déjà loin, faufilé dans les rues de Daigh. mais il était là, il était dehors. tu aurais cru qu'il t'attendait alors tu n'as pas hésité à te diriger directement vers lui. tu ne savais pas ce que tu allais lui dire, mais tu y aller, déterminée à ne pas le laisser filer. alors, quand il te reprochait d'un ton grave d'être venue ici, tu te stoppas immédiatement. "quoi, c'est quoi le problème ?", tu déglutis difficilement, ta gorge nouée avait difficile à laisser passer le quelques mots. "tu n'as pas changé" avais-tu lâché malgré toi, en retrouvant son visage, son expression, sa voix.



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