TOPIC COMMUN / vent de panique au marché.

Tu savais que se n'étais pas une bonne idée de sortir par un temps pareil, mais ta mère voulait absolument que tu ailles au marché qui avait lieu une fois par mois, le gros marché où tous les marchands, agriculteurs et autres créateurs, se regroupaient en ville pour vendre leurs divers provisions, articles et récoltes. Elle était malade, donc forcément, c'est toi qui te coltines les courses, tout ce dont ta mère voulait mais surtout, de quoi présenter aux hôtes histoire de vendre un peu des produits locaux aux quelques touristes ou vacanciers qui passaient par là. C'est donc pas pleine d'entrain, que tu étais venus donc au marché, avec une liste longue comme le bras. Mais le vent est bien présent, la pluie aussi. Tu vois vite que les étales ont du mal à le supporter. Quelle idée aussi de l'avoir fait en extérieur et non pas au marché couvert...Elle râle un peu en son fort intérieur, quand soudain tout dérape. Le vent qui se lève encore plus, faisant voler de partout les caisses, les étales, les produits..une pluie battante, mais également un orage qui fit presque trembler le sol. Tu es surprise, mais tu sais, que là...il faut s'abriter rapidement. Tu suis aussi vite que tes pauvres jambes te le permette le flot d'habitants fuir à l'école, avant donc d'y pénétrer à ton tour, trempé jusqu'à l'os. Tu t'assieds dans un coin, avant de remarquer à tes côtés, une personne qui semblait être blessé à la tête. Du sang coulait sur sa tempe, tu plisses alors légèrement des sourcils, avant de lui demander :
« Hey, ça va ? Vous voulez pas que j'appelle quelqu'un ? » T'es pas du genre super soucieuse des autres, Sia. Mais bon..là...Tu remarques bien que cette personne est pas totalement dans un état convenable.

A qui le veut héhé.

tout dégénère assez rapidement. quelques secondes auparavant il se baladait tranquillement au marché - non sans une pointe d'inquiétude en levant le nez vers le ciel - et maintenant il se met à courir en direction de son lieu de travail pour trouver un abri. et voilà pourquoi les habitants doivent écouter les scientifiques ; même si le temps est changeant sur l'île ce n'est pas tous les jours qu'ils sont confrontés à ça. et ça c'est une tempête qui fait des dégâts, jusqu'à plier un arbre. les étales des marchands valsent dans le ciel. rapidement il entre dans l'école mais la panique ne le quitte pas pour autant. il commence à héler d'autres habitants qui sont venus se réfugier dans le coin également. " est-ce que vous avez vu victoria ? " la panique vibre dans sa voix. les habitants ne connaissent pas la nature de leur relation mais peu importe : il a peur de savoir sa jolie blonde en danger et espère la retrouver parmi les réfugiés à l'école. quand son regard se pose sur @sia malone il se dirige automatiquement vers elle " hé sia est-ce que t'as vu vic - " il se coupe dans sa phrase en voyant le sang qui coule le long de la tempe de la troisième personne. un gémissement s'échappe des lèvres de pluton qui supporte mal la vue du sang. " olala mais il s'est passé quoi ? "

Tu n'étais pas vraiment sûre de toi là, mais ta soeur t'avais traîné jusqu'au marché un jour de tempête car comme chaque dimanche un repas de famille était organisé. Et cette fois c'était ta soeur qui avait proposé de faire à manger. Sûre ça ne pouvait pas être toi, car tu étais tout juste bonne à réchauffer des pâtes, mais elle avait décidé de t'apprendre quelque petites choses, alors ce repas familial était un peu son excuse. Tu avais insisté pour reporter votre cours de cuisine au vu du temps, tu ne prenais vraiment pas à la légère la menace de la tempête et tu aurais préféré que ta soeur le face aussi mais ce n'était pas le cas. Sous une pluie battante vous étiez sur le point de payer un maraîcher lorsque tu vis l'arbre s'abattre sur la place. Tu vois, tu vois je te l'avais dis que ce n'était pas une bonne idée. Mais tu n'avais pas le temps de finir ta phrase qu'un vent de panique secoua la place du marché. Tu venais de perdre ta soeur de vue en un instant. Tu suivis le mouvement sans t'en rendre compte et tu avais finis au sein de l'école. Tu cherchais ta soeur du regard pendant un long moment. Le mouvement de foule était si impressionnant que tu te faisais bousculer de tout les côtés. Si bien que tu t'excusas au fur et à mesure même si tu n'étais pas à l'origine Pardon ! Excusez-moi.  

Ce matin, impossible de trouver le sommeil, alors plutôt que de se retourner indéfiniment dans ce lit, qui plus est inconfortable, tu as décidé de te lever. être matinale, ça ne te dérange pas, quand tu habitais à Paris, tu étais de ceux qui prennent le premier metro. Seulement, que pouvais-tu bien faire sur l'île à une heure si matinale. tu te doutais que ta fille ne serait pas dans les parages et que faire des recherches à cette heure étaient veines. tu regardais par la fenêtre et il y avait tellement de vent, ces nuages menaçant d'exploser à n'importe quel moment. tu te disais que cela était normal, après tout tu es sur une île et celles-ci ont des climats particuliers... cela ne veut pas dire qu'il y aura un orage. et puis tu voyais des passants, déambuler dans la rue. eux avaient l'habitude, alors s'ils sortaient c'est qu'il n'y avait aucun risque.
tu pris la route de l'école, comme tu le fais presque tous les matins, emmitouflée dans un gros pull. tu n'avais que ça à te mettre de chaud. à vrai dire, tu n'avais pas prévu tous les habillages nécessaires, notamment pour un temps si orageux. tu commençais à greloter sous la pluie qui venait s'abattre sur tes joues. tu regardais cette école, inlassablement. elle y était scolarisée et tu voulais tellement la rencontrer ta Eve.
Puis, les choses prirent une autre tournure. Le vent se leva, le ciel gronda, la pluie était telle que ton pull ne suffisait plus. tu étais littéralement trempée. Alors que les bourrasques commençaient à emporter des stands du marché, une masse de gens s'avançait vers l'école pour s'y réfugier. perdue, tu aurais préféré rentrer chez toi, plutôt que de t'introduire dans l'école de ta fille : qu'allait penser Arthur ? mais tu fus happée et le groupe t'entraina à l'intérieur. tu y cherchais un visage connu, histoire de te donner bonne conscience d'être ici. tes yeux se posèrent sur @Pluton Dorn. certes tu avais très peu échangé avec lui, mais tu le connaissais. cependant, ce n'était certainement pas la personne à aller voir, tu n'étais pas sûre qu'il apprécie ta présence au sein de l'école, malgré les circonstances. alors tu cherchais encore et tu crus reconnaître @Amara O'Brian cette consoeur avocate. c'était elle que tu allais voir. "Amara ? tu n'as rien ?"

En dépit du ciel noir, Jules flâne gentiment dans les allées du marché, l'esprit embrumé, ses écouteurs aux oreilles à écouter du rock. Le soleil est à peine levé lorsqu’elle arrive sur la place du marché. Elle ne pense à rien, scrutant les fruits et légumes d'un ami de ses parents adoptifs. Ces derniers sont restés à la maison, prêts à préparer le repas une fois qu'elle aura fait les courses. La jeune femme prend son rôle très à cœur, voire un peu trop. Avec ses sacs de courses dans les mains, elle lève la tête vers l’arbre embellissant la place du marché. La taille de ce dernier l’a toujours impressionnée et ce, depuis sa tendre enfance. Mais il va très vite devenir son pire cauchemar. Tout se déroule très vite mais un violent coup de vent survient. Sa musique dans les oreilles, elle voit le vent de paniquer gagner la foule tandis que le vent se renforce à mesure que le temps s’écoule. Le temps change catégoriquement, se transformant en cataclysme. Comme tétanisée, la jeune femme ne bouge pas, paralysée par la peur. C’est en entendant un bruit sourd provenant de l’arbre que son instinct de survie lui dicte de courir le plus loin possible, de toutes ses forces. Il se plie sous la force des bourrasques, griffant son visage, son corps, arrachant sa veste et ses sacs. Quelques blessures et coupures légères fort heureusement, mais dans sa course, elle se foule la cheville sur un objet non identifié, provenant sûrement des nombreuses étales du marché. Lourdement, elle chute au sol, sur le ventre, poussant un gémissement de douleur. Le danger est encore là, la population présente est invitée à se réfugier, elle peut en entendre les cris. Jules doit déguerpir et vite au risque de se prendre un projectile, tout comme le jeune homme qu’elle aperçoit Oscar, qu’elle ne reconnaît évidemment pas. La douleur dans sa cheville l’empêche de se relever une première fois. Deuxième tentative, un succès, elle titube, boite pour tenter de rejoindre l’abri le plus proche. Difficile de se repérer désormais que la tempête frappe, réduisant à néant toute possibilité de réflexion. Chaque pas est une véritable souffrance, mais c’est encore une fois l’instinct de survie qui la pousse à avancer, encore et toujours. Son bras face au visage pour lutter contre le vent, trempée jusqu’aux os. L’apocalypse a frappé, mère nature se déchaîne sous les yeux impuissants des Hommes. « Foutue cheville… ! » Dit-elle en criant, sur un ton agacé, sa voix se perdant dans le brouhaha causé par la nature.

T'es un peu dépassé, Sia. Tu vois des gens de partout, pas mal de tête que tu as déjà vue quelque part, sans pour autant t'en soucier.T'es un peu inquiète pour ta mère, espérant qu'elle avait tout fermer et s'était barricader convenablement dans la maison. Tu soupires légèrement, avant de lever les yeux et voir @Pluton Dorn, que tu connaissais relativement. Tu vas pou lui sourire vainement, avant de te glacer légèrement quand il évoque Victoria.Tu sers légèrement des dents, avant de lui répondre un bref :
« Non, je viens juste d'entrer. Désolée» T'es pas super en joie de croiser la blonde, avec qui tu avais quelques...différents. Tu finis par faire mine d'être préoccuper par quelqu'un, ce qui était pas spécialement ton genre, ta plus belle qualité, d'être intéressé par les autres. Mais effectivement, ce jeune homme, @Oscar Keane semble être mal en point, de plus l'arrivée d'une jeune femme qui semble connaître Pluton, te permet d'aller donner un coup de main au jeune homme, que tu forces alors, en le prenant par le bras, pour qu'il s'assied.
« Mais oui, c'est ça. T'es blanc comme un linge, donc tu t'assoies maintenant. » Toujours dans la subtilité et la délicatesse quoi. Tu te fais un peu bousculer mais tu t'en moques. Tes jambes te le permettent encore, même si d'avoir marcher aussi longtemps, te met complètement KO.
« Assied-toi là, je vais te chercher de l'eau et quelque chose» Ordonnes-tu à Oscar, avant donc de relever la tête, cherchant du regard quelque chose qui pourrait t'aider. Tu remarques une autre jeune fille se plaindre d'une cheville, que tu sembles connaître comme étant la fille du couple qui tenait la boutique gaming. T'es pas médecin, Sia. Mais bon
« Hey toi, vient donc t'installer ici, avec lui ! Je vais tenter de vous trouvez un médecin, assied toi avant de te faire encore plus mal ! » Interpelle-tu la petite @Jules Flanagan, même si t'étais loin d'être la plus douée pour prendre soin de quiconque.

tête en l'air et surtout dépassé par tout les événements dans ta vie actuel tu n'as pas forcément écouter les recommandations à la radio. tu voulais juste faire tes achats au marchés, tu en profites à chaque fois pour faire le pleins pour l'association ainsi que les tiennes personnels. bien souvent tu remplis ton Pick-Up en entier, des caisses entières d’aliments mais cette fois à peine une caisse posé dans l'arrière de ta voiture que le vent ce lève et la pluie s'intensifie.  - Bordel ! marmonne-tu dans ta barbe. comme refuge tu monte vite dans ton bolide. te frottant les mains tu pense être à l'abris tu démarre le moteur mais la tempête fais des dégâts. l'arbre qui s'éclate au sol non loin de là te coupe la route, incapable de sortir d'ici, tu remarques la foules se réfugier dans l'école, tu ne penses pas que rester dans ta voiture serait la meilleure des décisions, de plus la silhouette de @Sia Malone qui s'engouffre dans l'école te fait changer d'avis aussi vite. impossible de la laisser seule encore une fois.. tu prend alors le risque de sortir de ta voiture. le vent manque de te faire tomber, les stands qui volent dans tout les sens, la pluie qui embrouille ta vision, la tempête fait rage, tu pensais réussir à t'abriter jusqu'à ce que tu reçois une tôle dans ton dos, la violence du vent et du choc t'emporte et t'éclate contre le béton humide. Ta tête gagnant le sol, tu perds connaissance immédiatement.

Avec toute cette panique tu ne savais pas où était ta soeur et tu commençais sérieusement à t'inquiéter pour elle. Tout le monde avait fini dans l'école non loin du marché afin d'être à l'abris de cette fameuse tempête qui avait faut autant de bruit dans les médias qu'en vrai. Apparemment c'était la tempête du siècle et tu compris très vite pourquoi. Finalement tu te demandais si tu avais grandis ici car vraiment tu n'étais pas à l'aise avec le temps. Après ce vent de panique sur le marché tout le monde avait plus ou moins retrouvé leur calme dans l'école. En naviguant dans les couloirs tu avais finis par croiser @Marie-Lou Quenn, une amie avocate que tu avais rencontré sur l'île. Oh ! Marie-Lou... Euh... Je vais bien ! C'est assez impressionnant voilà tout. Tu continuais à chercher du regard ta soeur qui visiblement n'était pas. Tu espérais simplement qu'elle trouvé refuge ailleurs qu'ici. Tu crois voir de loin @Oscar Keane qui a l'air blessé mais visiblement il était déjà bien entouré mais tu iras plus tard t'assurer qu'il allait bien. Et toi ? Je ne sais pas ce qui est le pire la tempête ou le vent de panique qui s'est abattu sur le marché.

Tout se déroule extrêmement vite. A tel point que personne n’a le temps de dire ouf. Jules la première, totalement tétanisée en premier lieu, elle reprend ses esprits seulement en comprenant que sa vie est en grand danger. En restant aussi près de l’arbre, il fallait s’y attendre. Un électrochoc qui la pousse à courir, ses jambes la mènent le plus loin possible, mais pas assez pour ne pas avoir quelques coupures dues aux branches. Dans la précipitation, sa cheville se tord violemment, contre un objet non identifié provenant des nombreux vendeurs présents sur le marché. Comme tous les jours d’ailleurs, tous se sont rendus, sans prendre en compte le ciel menaçant. Ce dernier leur tombe alors désormais sur la tête. Nul besoin de dire que la jeune fille se relève non sans difficulté, la douleur venant aussitôt torturer sa pauvre cheville, probablement enflée. Elle titube en pestant, sortant parfois des mots japonais.

Puis, elle aperçoit une issue, l’école où la foule se précipite. Tout comme eux, la brune s’y engouffre, aussitôt accueillie par @Sia Malone , celle-ci lui indique de s’asseoir afin de ne pas aggraver la blessure. Un fin sourire étire ses lippes tandis qu’elle hoche la tête. « Merci beaucoup. » Avoue la concernée, avant de poser son regard sur @Oscar Keane , dont elle avait aperçu la silhouette un peu plus tôt. Lui aussi semble très mal en point. Doucement mais sûrement, Jules s’assoit, non sans gémir un peu de douleur en sentant la douleur irradier son pied tout entier. C’est en ces instants que l’on voit enfin si les gens savent faire preuve de solidarité, et visiblement, c’est le cas. Le sang de son ami l’alerte sur sa condition, alors sans réfléchir, la brune déchire le bras de sa chemise, afin de nettoyer le liquide rouge carmin. « Tu t’es pas raté. »

tous vous étiez dans une panique totale. Ça courrait dans tous les sens, on voyait les visages affolés des habitants et la peur se lisait dans certains regards que tu croisais. Tu sais garder ton calme, est-ce peut-être ton détachement à cette île qui fait que tu arrives à gérer la situation, mais tu reste maitre de tes émotions et ton envie d'aider les autres se développe. Tu es avec @Amara O'Brian cette collègue que tu considérais comme amie. "je n'ai rien.. je ne comprends pas trop ce qu'il se passe." ton regard va de gauche à droite, les cris et les pleurs sont de plus en plus présents. Tu essaies de ne pas les écouter, histoire de rester centrée sur toi-même. Mais alors que ton regard balaye la salle, tu vois ton colocataire @Jon Barnes écroulé au sol, semblant ne pas bouger. Personne ne semble l'avoir remarqué, tu inspires un grand coup. "Amara ! Viens avec moi, j'ai besoin d'aide. " tu n'as pas le temps de donner plus de détails, tu aggripes son bras et l'entraine à l'extérieur de l'école alors qu'une petite poignée de personne vous empêche de sortir. Tu résistes, hors de question de le laisser dehors, allongé à même le bitume alors que l'apocalypse gronde autour de lui. "Regarde, Jon est évanoui." arrivé à son niveau, tu demandes si Amara peut l'aider à le trainer à l'intérieur de l'école pour le mettre à l'abris. Ton calme, il est légendaire, cela peut même paraitre totalement inapproprié à la situation, mais tu te protèges comme ça.