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Sia Malone
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Sia Malone
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âge : autrefois effrayant, maintenant bien là. Les trente-ans, ils font peur, ils font frémir. Pas elle.
statut civil : la trahison marbre son être, farouche envolée des deux personnes qu'elle pensait les plus sincères. Elle est brisée, Sia. Affaiblie par le coeur, mais que plus forte par l'esprit.
occupation : Autrefois manager dans une entreprise à Limerick, elle est revenue fouler l'herbe fraîche et les pavés anciens de la maison familial, reprenant d'une main jeune et fraîche la chambre d'hôtes de sa mère, en proie au décès de sa moitié.
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I am alone, so don't speakI find war, and i find peace,i find no heat, no love in me.

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résumé du personnage
Sia, native de l'île comme ses sœurs, déambulant depuis toujours dans les champs sauvages de cet endroit. Trente-ans mais déjà un parcours compliqué. Trompé par sa meilleure amie et son petit ami alors qu'elle était en rééducation, ayant manqué de peu de perdre l'usage de ses jambes suite à un terrible éboulement de falaise, l'an passé. Elle est revenue ici, pour gérer chambre d'hôtes, alors qu'elle travaillait dans une entreprise en tant que manager. Mais la famille avant tout et sa mère, ayant dû survivre après le décès tragique du patriarche, Sia n'a pas sut la laisser dans cet état et seule. Elle a pas la vie facile. Mais c'est une battante, Sia. Elle ne laisse rien ni personne la détruire, la rabaisser.

nb de mots : 500 à 1500 environ, tout dépend de la personne en face et de l'inspiration.
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(#) Mar 4 Juin - 23:08

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@cole byrne & sia malone

Sia, elle avait du mal à se souvenir de toute l'affaire, de son accident. Quelques brides écorchées, quelques flashs difficiles à remettre dans un ordre chronologique acceptable. Elle ne se souvenait pas du tout du visage, des traits fins et la tignasse brune de son sauveur, pas vraiment. Elle n'avait d'ailleurs jamais vraiment demandée d'informations. Il faut dire que la brune, avait eu tellement son lot de questions, de pensées et de soucis, qu'elle n'avait guère eu le temps de se poser et songer à la question. Elle avait dû se battre, se battre contre l'incapacité de marcher, contre la dépression, la solitude qu'elle avait cependant choisit de vivre. Oui, Sia n'avait souhaitée personne auprès d'elle, sauf sa mère. Elle n'avait pas envie qu'on la prenne pour une handicapée, ne voulait pas voir dans le regard de ses proches, qu'elle finirait sans doute dans un fauteuil et que l'ombre d'elle-même. Possible erreur, qu'elle avait fait là, que de se tourner vers la solitude, qu'elle avait vue comme un choix de combat, une force. Un besoin d'être seule pour affronter le plus compliquer, n'avoir besoin de personne et surtout, revenir la Sia d'antan. Manqué. Car tout avait volé en éclat à son retour, du moins de vue relationnel. Dans le fond, elle n'en voulait peut-être pas tant que cela à Jon, elle l'avait un peu abandonné, l'avait laissé dans ses travers car elle savait. Elle savait et le connaissait. Elle aurait eu vent forcément, un jour ou l'autre d'une quelconque tromperie à cause de sa longue absence. Mais pas avec Noreen. Pas sa meilleure amie enfin ! Cette peste, qui avait profité de l'occasion pour lui mettre le grappin dessus. Elle lui en voulait tellement...

Mais Sia, avait vite apprit par sa mère, que c'était nul autre que leur voisin, le propriétaire de l'auberge voisine qui lui faisait quand même un peu de l'ombre, qui l'avait sauvé d'une mort atroce et douloureuse. Comme quoi, elle qui ne s'était pas plus que cela intéressée à ce type, sauf dans l'idée de lui crever les pneu ou quelconque farce pour couper la concurrence, se rendait compte que oui. Elle n'avait jamais prit grand soin de le regarder plus que cela, de s'attarder sur lui. Et pourtant, elle l'avait vue, plusieurs fois. Bel homme, beau brun au visage doux et si tendre. Elle aimait bien les gars comme ça. A la fois fort mais avec un visage émotif, qu'on pouvait lire sans grand mal. Mais elle apprit vite le présent du brun, loin d'être glorieux. L'alcool, l'abandon, la mort de sa compagne et surtout le devoir d'élever son enfant seul. En plus l'auberge...Compliqué vraiment. Sous les bons conseils de sa mère, il était peut-être tant pour la belle brune, de faire un pas vers lui, d'aller un tant soi peu le remercier. Elle n'aime pas trop faire ça, c'est pas quelqu'un de foncièrement sociable, Sia. Elle est plutôt sur la réserve, n'aime pas aller embêter les gens et être embêté aussi. Mais oui, cet homme, dont elle ne connaissait que le nom, lui avait sauvé la vie.

Munie d'un fichu panier en osier, que sa mère avait tenue à préparer pour le sauveur, elle savait pas trop si lui offrir quelques confitures, une bouteille pour attiser encore plus son alcoolisme et quelques bonnes choses, serait la meilleure idée qui soit. Mais elle le fait, Sia. Elle pénètre donc le terrain de l'aubergiste, observant d'un oeil aiguisé les lieux, se faisant quelques remarques sur des trucs qui lui semblait pas top pour le style et compagnie. Défaut professionnel. So,n regard est vite attiré par une petite demoiselle, prêt d'une balancelle. La brune se stoppe, la regardant faire. Elle était toute belle, mais sans doute encore trop petite pour tout ça. Elle plisse légèrement du front, observant les alentours. Elle était seule. Il fallait être inconscient pour laisser une gosse de même pas trois ans ou guère plus ni moins, ici. Elle pourrait essayer de grimper dessus et se fendre la nuque. La brune s'avance donc, pose le panier au sol avant de s'accroupir comme elle peut, sans un rictus de douleur :
« Hey, salut toi. Tu es toute seule ? Ton papa ou ta maman sont à l'intérieur ? » Demande-t-elle d'une voix douce. A croire que les enfants, avait droit à son côté le plus aimable. De toute évidence. La petite semble hocher de la tête, bredouillant quelques mots à peine audible. La grande brune finie par la prendre doucement dans ses bras, avant donc de marcher difficilement vers l'auberge, frappant alors à la porte tout en la posant sur un petit banc à côté de la porte. Elle garde un œil sur elle, pas question qu'elle parte ne sait on où. Son regard sombre se porte sur l'homme qui vint lui ouvrir, qui semblait bien être ce fameux Cole. Elle essaie tant bien que mal un sourire, mais bien trop compliqué.
« Bonjour. Je sais pas si vous me reconnaissez...Enfin on est voisin il faut croire. Sia Malone. C'est moi, que vous avez sauvez, apparemment. Il y a presque un an. » Belle entrée.

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(#) Jeu 13 Juin - 14:40

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cole byrne & @sia malone

T'as le coeur lourd. Bien trop lourd Cole. Cette journée, elle est celle que tu as tant rêvé ne pas passer. Car tu savais au plus profond de toi que tu n’aurais pas tenu, que tu aurais tout fait foirer et que tu te serais noyé. Dans le chagrin, dans l’alcool. T’as ce traumatisme qui n’est jamais parti. Tu sais que tu n’as rien fait pour, mais t’as pas envie. T’as pas envie d’y arriver, t’as pas envie de l’oublier. Elle était celle que tu désirais et chérissais le plus dans ce monde. Elle était tienne, tu étais sien. Elle était la mère de ta fille, cette incroyable femme pleine de vie et d’ambition. T’as jamais compris comment t’as réussi à lui voler son coeur, pourquoi elle s’est entichée de toi, pauvre écrivain raté à l’époque. Et pourtant, c’est ta vie qu’elle a décidé de partager. Elle est partie tellement vite, que tu n’as rien compris Cole. Il t’a fallu plusieurs heures avant de comprendre réellement ce que les médecins te disaient. Elle est morte. Encore maintenant, t’as cette phrase qui résonne sans cesse dans ta tête. Et ça te fait mal. Bon sang que ça te fait mal Cole. Tu soupires longuement, bois une énième gorgée de ce nouveau whisky déjà bien trop entamé. Tu déposes lourdement la bouteille et tu regardes cette photo posée devant toi. L’alcool a pris depuis plusieurs minutes possession de ton corps et de ton esprit. Tu ne remarques d’ailleurs pas que ta fille n’est pas dans son parc comme à son habitude. T’as la vue qui devient floue, tu soupires encore une fois. T’es pitoyable, tu le sais. Si te femme te voyait de la sorte, elle aurait honte de toi. Mais c’est bien trop dur. T’es prêt à te prendre une nouvelle gorgée quand un bruit sourd contre la porte attire ton attention. — Fichez-moi la paix, marmonnes-tu dans ta barbe, à peine audible. Mais la personne persiste. Tu décides de te lever, mais tu manques de tomber en te prenant les pieds dans la chaise à tes côtés. Tu te rattrapes, souffles un coup et clignes plusieurs fois des yeux. Tu tiens la poignée entre tes mains, et alors que tu t’apprêtes à repousser la personne qui ose venir te déranger en ce début de soirée, tu te ravises lorsque tes yeux se posent sur cette jeune femme. Son visage, t’as jamais su l’oublier. T’as jamais su oublier le jour où tu l’as sauvée, un peu malgré toi et contre toute attente. T’avais rien demandé Cole, tu passais juste par là. T’as jamais reparlé de cette histoire, t’as jamais eu de nouvelles de cette étrangère. Tu plisses les yeux, te tiens droit, faisant mine d’être parfaitement normal. Tu l’écoutes parler, avant de lui répondre tout en haussant les épaules. — Je me souviens oui. Ravis de voir que .. vous allez bien. Tu réponds presque gentiment, mais tu te questionnes. Tu te demandes pourquoi elle est ici, qu’est-ce qu’elle peut bien te vouloir à une heure aussi tardive, mis à part le remercier. T’as prêt à l’envoyer paître, mais ton regard fini par se poser sur ta fille, à l’extérieur, sur le banc. — Je .. qu’est-ce que vous faites avec ma fille ? Tu hausses le ton et sors de chez toi rapidement en bousculant légèrement la jeune femme. Tu attrapes ta fille qui se réfugie dans tes bras et tu foudroies cette Sia du regard. — Qu’est-ce que vous me voulez ? J’ai rien à vous dire. Si vous vous attendez à un y a pas de quoi, c’est raté. Fichez-moi le camp. T’as le hoquet qui te prend, les larmes qui te montent aux yeux. D’un coup d’un seul, t’es dans tous tes états Cole. T’as juste envie d’être seul, en réalité.

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Sia, native de l'île comme ses sœurs, déambulant depuis toujours dans les champs sauvages de cet endroit. Trente-ans mais déjà un parcours compliqué. Trompé par sa meilleure amie et son petit ami alors qu'elle était en rééducation, ayant manqué de peu de perdre l'usage de ses jambes suite à un terrible éboulement de falaise, l'an passé. Elle est revenue ici, pour gérer chambre d'hôtes, alors qu'elle travaillait dans une entreprise en tant que manager. Mais la famille avant tout et sa mère, ayant dû survivre après le décès tragique du patriarche, Sia n'a pas sut la laisser dans cet état et seule. Elle a pas la vie facile. Mais c'est une battante, Sia. Elle ne laisse rien ni personne la détruire, la rabaisser.

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(#) Ven 14 Juin - 23:22

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@cole byrne & sia malone

Tu ne t'attendais pas à ça, même si tu avais entendus pas mal de choses concernant le brun, propriétaire des lieux, tu pensais pas vraiment qu'elles étaient vrai. Tu plisses légèrement des sourcils et du front, observant le brun apparaître de derrière la porte de bois, l'air loin d'être des plus flatteurs, l'haleine putride et les yeux légèrement vitreux. Tu comprend vite, t'es pas stupide, Sia. Mais t'aimes pas trop qu'on te parles de la sorte, surtout que tu étais venus ici , parti d'une bonne intention.
« Si vous accueillez vos hôtes de la sorte ou quelconques visiteurs, je comprend mieux le reste...» Maugres-tu,en lâchant un léger soupire. Tu finis quand même par lui tendre le panier que tu avais constituer, avant d'ajouter :
« Tenez. Je sais que c'est peu, voir même maigre comparer à ce que vous avez fais...mais bon. Je tenais quand même à vous remerciez, même si j'ai mis quelques temps à le faire.» Effectivement, presque un an, que tu avais eu cet accident. Mais il est vrai, que tu avais perdu pas mal de temps avec la convalescence, chose que certainement, il ne savait pas. Tu ricanes légèrement d'ailleurs à sa remarque, concernant si tu semblais bien aller.
« Bien aller, je sais pas si c'est la bonne définition, qui convient à une personne qui à pratiquement passé une année en fauteuil et en rééducation sans savoir si j'allais remarcher un jour. Mais il vaut mieux ça que d'être morte, non ? » T'es parfois un brin glauque, Sia. Tu te demande comment Jon a parfois pu te supporter , toi et ta légère noirceur, ton pessimisme. Mais on te prenait comme tu étais, tu étais toujours partis de ce principe : Sia.

Tu restes complètement cloué, choqué par les propos que te tint Cole. Tu ne comprend pas du tout pourquoi il t'agresse de la sorte et t'es pas du genre à rester le bec ouvert et laisser passer du vent. Tu fronces à nouveau des sourcils, avant de lancer :
« Non mais on va se calmer là hein ! Je suis simplement venue vous remercier, c'est là que j'ai vue votre gamine toute seule, vers la balancelle. Sans surveillance. Donc c'est plutôt à vous de me dire qu'est-ce que vous foutez avec votre enfant ouais ? » Aboies-tu pas franchement contente de te faire "insulter" de la sorte. Il était réellement malade le type ouais ! T'étais à la limite de te faire traiter comme de la merde, alors que tu étais ici en toute bonne foi, en toute sympathie.
« Remerciez plutôt que je l'ai emmené ici, qu'elle se soit tordu le cou là-haut vue que vous semblez préférez la boisson à vous occupez de votre gosse. J'hallucine quoi ! » Tu lâches même un rire agacé, secouant légèrement la tête. Tu comprend vraiment pas sa réaction, mais à dire vrai, faut-il comprendre un mec alcoolisé à outrance ? T'es pas sur ,Sia.
« Je sais pas la raison de tout ceci et je m'en moque, mais vous devriez pensez à elle. Même si concrètement sa me regarde pas.»

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(#) Mar 25 Juin - 11:30

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cole byrne & @sia malone

Tu n'es vraiment pas d'humeur Cole. T’as juste envie de rester seul, de te noyer dans l’alcool en cette journée délicate et c’est tout. Tes pensées ne sont que vers ta bien aimée disparue bien trop tôt. Tu ne penses qu’à elle, t’as même pas une seule pensée pour ta fille qui est tu ne sais où. On pourrait te qualifier de mauvais père, et peut-être que t’es pas le meilleur. Mais tu fais de ton mieux Cole. T’étais juste pas prêt. Pas prêt à reprendre l’auberge, pas prêt à t’occuper seule de ta gamine. T’as tes yeux qui se noient dans tes larmes montantes. T’as envie de tout envoyer valser, mais on vient te déranger. T’as pas envie de voir qui que ce soit, alors tu marmonnes dans ta barbe quelques paroles aigries. Mais on insiste, et titubant, t’as fini par aller jusqu’à la porte dans un effort que tu trouvais surhumain. Tu tombes nez à nez avec ce visage que tu n’as vu que très peu. Même une seule fois. T’essayes de comprendre ce qu’elle fiche ici. Mais elle ne mâche pas ses mots la demoiselle lorsque tu lui ouvres la porte. Et ça, ça t’agace. — Qui êtes-vous pour juger ? Perdez votre femme, élever un enfant seul et on verra si vous ferrez mieux. Tu lui réponds sèchement, t’es pas là à perdre ton temps avec ce genre de personne, encore moins aujourd’hui. Le ton redescend doucement, lorsqu’elle te tend son panier. T’es un peu surpris, tu ne t’attendais pas à ça. Tu prends le panier sans broncher. — C’est gentil. Fallait pas. Tu hausses les épaules et dépose le panier derrière ta porte. Tu lui dis quand même que t’es content qu’elle ait bien. Tu te souviens encore de cet accident, du fait que tu te baladais par là totalement par hasard. C’est là que tu l’as vue Cole. T’as pas hésité une seule seconde, t’as accouru vers elle et t’as appelé les secours. T’as agi en bon prince, comme n’importe quelle personne ferait. À vrai dire, après autant de temps, tu avais presque oublié cette histoire. Jusqu’à ce qu’elle ne fasse son apparition sur le pas de ta porte. Tu recules un peu ta tête, fronces les sourcils. Tu ne comprends pas trop sa façon de te répondre, un brin sarcastique. Certes, elle n’avait pas tord. — Ne le prenez pas de cette façon, je ne savais pas tout ça. Je n’ai jamais été au courant de votre .. état. Mais oui, il vaut mieux être en vie que six pieds sous terre. Tu repenses à ta femme, et à ô combien tu aimerais qu’elle soit actuellement présente à ta côté. Tu ne serais pas en train de broyer du noir, ni d’aboyer de la sorte sur cette parfaite inconnue dont tu ne connais à peine que le prénom.

Et c’est là que tout dérape, lorsque tes yeux se posent sur ta fille. Dehors. Seule. T’as préféré passer ton temps à boire plutôt qu’à t’occuper de ta propre gamine et ça te la fou mal Cole. Ça te tord le coeur, mais tu comprends pas ce qu’elle fait là. Alors tu fusiles du regard cette Sia. T’as la nausée, les effluves d’alcool ingéré encore quelques minutes auparavant qui s’échappent de ce corps mou et vide de toutes sensations. Tu t’emballes, t’as envie de lui claquer la porte au nez. T’es à deux doigts de le faire, mais elle a du répondant la Malone, tu ne peux le nier. Et tu fronces encore plus les sourcils à tout ce qu’elle te balance sans prendre des pincettes. Tu sais qu’elle n’a pas tort Cole. À vrai dire, Sia a entièrement raison. T’es totalement à la ramasse, t’as même pas vu que ta fille était seule dehors. Non, t’as rien vu. T’as juste vu ce verre en cristal vide que tu remplissais bien trop vite. — Effectivement ça ne vous regarde pas mademoiselle ! Vous êtes qui pour venir juger de la sorte ? T’as un vieux hoquet qui te monte à la gorge, mais tu essayes de continuer tes phrases du mieux que tu peux. — C’est pas parce que vous êtes sur vos deux pieds que c’est le cas de tous le monde. J’vous ai dit de me foutre la paix, je n’ai pas envie de perdre mon temps avec une personne comme vous. Vous n’êtes pas la mère de cette gamine, je m’occupe du mieux que je peux de ma fille ! S’en est trop pour toi, tu craques. T’as les larmes qui coulent le long de ta joue rosie par l’alcool et la colère. T’aimes pas être vulnérable de la sorte. Tu attrapes la main de ta fille et tu l’envoies gentiment à l’intérieur. — Papa arrive chérie. T’as le coeur qui se serre un peu plus dans ta poitrine lorsque tes yeux se posent sur Sia. — Alors si vous avez fini, vous pouvez rentrer chez vous. Bonne soirée. Tu pousses la porte pour la fermer, mais celle-ci vient se cogner au pied mis précipitamment contre celle-ci afin de la bloquer.

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(#) Jeu 4 Juil - 23:19

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@cole byrne & sia malone

Tu pensais pas du tout qu'une telle situation se produirait, en venant ici. T'étais là, en toute bonne foi, Sia. T'es pas du genre à faire cela, à venir remercier les gens.T'es une femme un peu froide, un peu ferme et réservée, alors oui, c'était déjà un bon début. Mais franchement, toute la situation tourne au vinaigre. Il ferrait mieux de la remercié oui, pour sa gosse ! Elle aurait pu se blesser, avoir un accident et il n'aurait rien vu, le bougre ! Il semblait certes avoir quelques ennuis mais Sia ne comprenait pas cet état d'âme, pas ce comportement. Pour le bien de sa gosse, il devait faire de son mieux et qui disait ceci, devait donc dire qu'il fallait arrêter l'alcool, à croire l'odeur nauséabonde qui lui montait aux narines. Tu le laisses balancer ses conneries, avant de lancer, d'un ton excédé :
« Wow wow wow, on va se détendre là ! J'en ai rien à secouer de votre vie, de vos problèmes ! Vous êtes pas le seul à vivre des tragédies, ma mère aussi à perdue son mari et elle a pas pour autant fait de la merde ! J'ai failli perdre la vie, j'ai manqué à ça de perdre l'usage de mes jambes, j'ai été trompé par les 2 personnes que je pensais les plus honnêtes et non, alors je crois que vous allez vous détendre avec vos lamentations ! » Tu lâches tout ça d'un ton assez sec et haut, t'aimes pas te faire marcher dessus, te faire crier dessus par un parfait inconnu.Il a bien de la chance, même ce fameux Cole. Il a de la chance que le panier était déjà entre ses mains, sinon il se serait prit le contenu en plein visage, sans aucun mal. Tu croises les bras en soupirant, roulant même des yeux légèrement :
« C'est bon, j'ai pas besoin de pitié, c'est pas grave. Franchement, j'en sais rien si c'est mieux ou pas mieux. Essayez donc de vivre avec toutes ces opérations et tant de mois de rééducation. Et de tout perdre aussi au retour. » Tu lâches un ricanement bref, un brin moqueur de ta propre situation.

Tu peux limite le comprendre, quand vous en vinrent à parler de la petite. Mais en effet, tu as vue le danger, toi, une propre inconnue. Il valait peut-être mieux que vous vous disputiez de la sorte, que la petite se soit tordue le cou ou blessée grandement. Donc d'un côté, tu préfères presque pas répondre à ses propos. Tu ris même, tout en venant plaquer ton pied contre la porte et le vide qui restait pour dire tes mots :
« Oh ça va, j'en ai rien à foutre ! A vous de voir si vous vouliez la voir morte elle aussi, par votre manque d'attention, c'pas mes affaires en effet ! » Tu soupires fortement en le fixant d'un air hébété.  
« Et bien si vous faites de votre mieux, déjà arrêtez l'alcool, ça vous rend ni beau, ni aimable ! Vous croyez pas qu'elle voit tout ça hein? Bien sur que si ! Ca va la traumatiser et si vous êtes aussi virulent maintenant, j'ose même pas imaginer la suite ! Alors un bon conseil: stop la boisson. Sinon c'est les services de l'enfance qui vont venir vous le dire la prochaine fois et il sera trop tard ! » Tu le menaces vraiment, Sia ? Possible, mais tu penses même pas que toi, tu ferrais ça. Tu voyais bien qu'il était pas méchant, ce gars. Tu penses pas qu'il soit mauvais, au point de faire du mal sous état d'ébriété à sa petite. Mais t'es pas sur dans le fond, qu'il n'arrivera pas quelque chose. Alors tu ajoutes :
« Demandez de l'aide au lieu de vous renfermez bordel, faite pas le con. Et si vous en avez rien à foutre, tant pis pour vous. » Tu retires alors ton pied, de toute façon, qu'est-ce que tu pouvais dire de plus. Tu commences faire volte-face, alors qu'un gros éclair suivit d'un éclat bruyant vint terrasser le silence des lieux.
« Fait chier...» Tu risquais de te prendre un orage en pleine pomme quoi.

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